En fouinant dans les comptes de la chancellerie parisienne, l’IGE aurait découvert des manquements très graves de gestion. Et c’est ainsi qu’elle aurait exigé le reversement au Trésor public mauritanien d’environ 500 000 euros qui auraient été subtilisés par des responsables « diplomatiques ».
D’autres ambassades seraient dans la ligne de mire de l’IGE. On parle notamment de Bruxelles, de Dakar et du Qatar.
rim24.info