Ces sources ont affirmé que les autorités mauritaniennes ont demandé à ces nouveaux actionnaires de verser leurs parts dans une échéance précise, menaçant même de remettre en cause le décret ouvrant le capital de la STP au privé.
La société, prévoit, toujours selon cette source, d’ouvrir de nouvelles lignes à Nouakchott et vers certaines villes du pays, mais elle a besoin de liquidités pour mettre en œuvre ce plan de développement. La plus grande crainte des responsables de la société, note cette source, est de voir les hommes d’affaires mauritaniens entrés dans le capital de la STP, prendre tout le temps qu’il faut pour ne pas verser à la société les montants dus.
Sahara média