La défense avait, au cours des plaidoiries demandé une expertise de psychiatre pour l’imam condamné, afin de définir l’état psychique dans lequel il se trouvait au moment où ont eu lieu les fats qui lui sont reprochés. Une demande à laquelle la cour n’a pas accédé.
En juillet dernier, Abdalahi Ould Soufi était maître de mahadhra dans la localité de Chegar Gadel où il dirigeait en même temps la prière à la mosquée, avait tué l’infirmier Isselmou Ould Ahmed Vall, à coup de poignard, au moment où ce dernier se trouvait en plein sommeil.
Source : ANI le 28/12/2010