Quant aux anciens employés, ils continuent à endurer une épreuve sans précédent. Ils n’ont pas été payés depuis près de quatre mois. Ils s’impatientent et certains ne cachent pas que s’ils privilégient une solution mauritano-mauritanienne, ils n’hésiteront pas le cas échéant à soumettre leur situation devant des tribunaux français d’autant plus que la plupart d’entre eux ont été recrutés sur le sol français et disposent d’une nationalité française aussi.
La plupart des mauritaniens n’apprécient guère la fermeture du consulat d’autant plus qu’il rapportait gros pour justifier son maintien. Curieuse décision que celle prise par nos autorités à l’heure où les autres pays ouvrent des représentations consulaires aux quatre coins de l’Hexagone.
CAKD
Source : Cross-Cultures le 19/09/2010