constant de l’action politique nationale, précisant, que c’est bien elle qui a retardé la tenue de l’élection présidentielle du 18 juillet 2009.
Dans ses éclairages sur la situation politique du pays, Ould Horma a également indiqué qu’à l’époque, les opposants étaient très préoccupés par la dissolution du HCE et par la satisfaction d’autres doléances, sans réelle importance ou n’ayant pas d’impacts véritables sur le cours politique et la ferme volonté des dirigeants de restaurer l’ordre constitutionnel.
Mohamed Yahya a souligné aussi, que l’accord de Dakar, ce leitmotiv très cher à l’opposition, est un protocole signé par les pôles politiques adverses et qu’il n’engage aucunement le gouvernement, qui dira-t-il est issu d’un pouvoir élu par le peuple.
Source : www.leveridique.net le 22/07/2010